|
| Boulversements... | |
| | Auteur | Message |
---|
hishigi uchiwa
Messages : 53 Date d'inscription : 16/08/2009
fiche ninja énergie: (2106/2106) chakra: (3106/3106)
| Sujet: Boulversements... Sam 29 Aoû - 13:20 | |
| J'écoutai d'une oreille distraite le rapport que me livrait l'anbu. Ce-dernier venait d'effectuer une mission de rang S et se devait de me tenir informer du résultat. Je parsemai son discours d'interjections ou de légers hochements de tête tâchant de paraître attentif. Cependant, mes pensées étaient ailleurs...
*Amaterasu Hitaika Uchiwa. Tu étais hokage, sûrement le plus apprécié de tous les hokage. Respecté par tes amis et alliés, crainte par tes ennemies, tu ne pouvais désiré meilleur situation que celle-là. Du haut de cette tour tu avais la main mise sur une des plus grandes puissances militaire occurrentes en ce monde. Et pourtant, tu as gâché des années de lutte au profit de la paix en tuant le Daimyo. Ce faisant, tu as ruiné ta réputation et tu as perdus tout crédits aux yeux de tes ex-compatriotes. *
Je renvoyai mon interlocuteur d'un geste de la main tout en le félicitant pour ses prouesses. Puis, je m'enfonçai confortablement dans mon fauteuil et entrepris de me balancer d'avant en arrière.
*La version officielle ne me plaît pas. Tu n'as pas pu prémédité ton coup et encore mois pour t'arroger tout les pouvoirs. Non, décidément je me refuse de croire à pareilles absurdités. Mais alors que c'est-il passé ? *
Je soupirai et ne tenant plus, commençai à arpenter la pièce, la tête basse et les mains derrière le dos.
*Aucun témoins, des indices grossiers et trop évidents... L'enquête, le dossier, tout à été falsifié. Dans quel but ? Peut être pour garder un semblant de cohésion dans le village... *
La porte s'ébranla lorsque cinq gardes armés firent irruption dans la pièce. Deux d'entre eux se postèrent de chaque côté de l'entrée et les trois autres m'encerclèrent. Puis, le nouveau daimyo pénétra à son tour dans mon bureau et s'arrêta à trois mètres de moi.
« Bonjour Yukimura, que me vaut l'honneur de votre visite ? - Seigneur Yukimura. Je suis désormais le chef du pays du feu ET le chef de Konoha. - Pardon ? - En effet, suite aux récents évènements le conseil a opté pour la meilleur solution : confier tous les pouvoirs au daimyo pour éviter qu'un hokage trop...présomptueux ne cherche encore à s'arroger tous les pouvoirs. Par conséquent, je suis votre supérieur hiérarchique et vous me devez obéissance. »
Je m'inclinai et déclarai d'une voix suave.
« Je suis votre dévoué serviteur, comme le fut mes prédécesseurs. -Hélas vos prédécesseurs étaient des alliés du daimyo, des vassaux pour être exact. Aujourd'hui, vous êtes mes sujets. La nuance peut paraître infime pour certains mais dans les faits, elle est d'une importance capitale. À présent, vous me rendrez compte de toutes vos actions, de tous vos faits. Étant l'administrateur principal de ce village, je serais le gérant de son économie et surtout, surtout... Je déciderais de l'affectation de tous les ninjas. Vous serez donc dans l'obligation de me demandez mon avis avant d'envoyer un de vos(hum), de mes hommes sur le terrain. Me suis-je fais comprendre ? -Parfaitement. -Très bien. On m'avait dit que vous étiez un ninja zélé en plus d'être talentueux. Sur ce, je dois retourner à mes occupations. »
J'accueillais le compliment d'une légère courbette et m'inclinai plus bassement lorsque mon opposant déclara devoir partir.
« Ah oui j'oubliais. Je ne resterais pas à konoha, Vous n'aurez donc pas à faire à moi mais à mon subordonné que je laisserais ici en tant que représentant express du daimyo. Pour information, c'est mon frère, donc inutile d'essayer de le soudoyer. -Cela n'était, n'est et ne sera jamais mon intention. -Parfait. Bonne chance hishigi uchiwa. »
Ses gardes personnelles lui emboitèrent le pas et s'en furent en claquant la porte. Sans m'attarder outre que cela j'attrapai ma cape et sortis à mon tour.
*Tu as été piégé amaterasu. Tout ça n'était qu'une vaste opération pour s'accaparer non seulement la place de daimyo mais également celle de hokage. Ce type est très fort mais.... *
Un large sourire barra mon visage et une lueur vindicative traversa mon regards.
*il me sera d'une très grande utilité. Une guerre contre les pays voisins seraient parfait. À moi de la provoquer.... * | |
| | | hishigi uchiwa
Messages : 53 Date d'inscription : 16/08/2009
fiche ninja énergie: (2106/2106) chakra: (3106/3106)
| Sujet: Re: Boulversements... Ven 6 Nov - 0:09 | |
| Las je me levai de ma chaise et m'étirai comme un félin. Cette journée s'était révélée fatigante et ennuyeuse au possible. Quelques petites affaires sans importances à traiter, deux ou trois rapports de mission à lire, plusieurs signatures à apposées, comme si le nouveau Daimyo s'était arrangé pour que plus rien ne filtre l'épaisseur des murs de mon bureau. Je n'avais accès à aucun dossier capital, n'avais aucunes consignes à délivrer, aucun ordre à donner... En somme j'avais été écarté du pouvoir et ce de façon grossière. Deux ninjas gardaient ma porte et rapportaient sans aucun doute tous mes faits et gestes. Si l'envie de quitter la tour me prenait, trois équipes de trois anbus me prenaient en filature. J'étais comme qui dirait prisonnier de ma condition, enfermé dans une prison doré avec pour seul joug mon titre désormais illusoire et inusité. Je me postai devant ma fenêtre et croisai les mains derrière mon dos. Le Soleil déclinait à l'ouest et ses rayons mornes et atrabilaires échouèrent à me réchauffer. Les ombres grandissaient et peu à peu la nuit prenait le pas sur le jour. Je soupirai.
*Mouais, encore une journée pauvre en nouvelle. *
Mes jointures craquèrent et mon regard se durcit. Être un mouton se révélait plus éprouvant que je ne l'aurait cru. Humilié, rabaissé, le Hokage n'était plus. Par ailleurs, tous semblaient s'être consciencieusement rangés derrière le nouveau chef sans émettre la moindre objection, sans provoquer le moindre trouble. Rien, la passassions de pouvoir s'était effectué sans anicroche aucune.
*Je ne peux pas reprendre le pouvoir par la force tant que l'opinion publique ne sera pas en ma faveur. Mais que puis-je faire pour renverser le cour des choses ? Si je continue comme ça, je vais réellement tomber dans l'oubli... *
Rageusement j'entrepris de faire les cents pas dans l'exiguïté de mon bureau.
*Non, il faut que je réagisse, que je passe à l'action et que je sorte de cet état de semis-léthargie. Il fut un temps ou mes rêves dépassaient de loin mes espérances. Maintenant qu'ils sont à ma portée, devrais-je les laisser s'éloigner à nouveau pour y croire comme jadis et raviver la flamme de la passion ? Non, ce sera perte de temps que de laisser filer ma chance. En tant que hokage, je dispose de la couverture idéale pour régir mon organisation à distance sans me faire repérer et sans attirer le moindre soupçons. L'occasion idéale. *
Pourtant, je ne pouvais me résigner à agir. Si près du but, si prêt de parachever l'oeuvre de toute une vie, si prêt d'assoir ma suprématie sur les décombres d'un monde vaincu, si prêt d'assoir une ère nouvelle... Échouer là maintenant me serait insupportable, invivable.
*Hélas, je n'ai pas le choix, il faut que j'abatte mes cartes. Tout du moins certaines d'entre elles. *
On frappa à ma porte, ce qui ne manqua pas de piquer ma curiosité. Qui ? Pourquoi ? Voilà des jours que j'étais cloitré dans ce bureau sans voir personne. Cette visite, en plus d'être occasionnelle, devait avoir un but bien précis et important. La porte s'ouvrit brutalement faisant place au Daimyo lui-même, ou plutôt à son représentant direct au sein du village. Je le saluai courtoisement et l'invitai à entrer dans « mon humble demeure » bien que je fus tenté de dire dans mon « humble prison ».
« Que me vaut l'honneur de cette charmante visite ? -Je vous en pris Hishigi, épargnez moi vos minauderies, j'ai beaucoup à faire. Par conséquent, je serais bref. Je veux que vous me retrouviez Amaterasu en gage de bonne volonté vis à vis de l'autorité suprême que représente mon frère le Daimyo. »
Je m'apprêtai à le questionner lorsqu'il leva la main en guise de protestation.
« Je suis las de répondre à des questions. Vous avez carte blanche pour la retrouver et pour nous la ramener, vivante si possible, morte si nécessaire. À présent bonne chance, je vous souhaite de réussir là où les anbus ont échoués. Je ne vous cache pas que vous êtes notre dernier espoir, alors ne gachez pas les attentes de votre bienveillant maître. »
*Bouffon, tu crois que ton titre te donne le droit de me traiter comme le moins que rien que tu es ? Par ailleurs, en pensant m'écarter du pouvoir tu ne fais que me livrer l'occasion inespérée de renverser l'opinion publique. Quand le peuple apprendra par la bouche de Amaterasu elle-même, appuyé par ma propre parole, il ne pourra que se révolté j'en suis sur. *
La porte claqua derrière lui et je m'autorisai un sourire confiant.
*Finalement, ton altruisme agaçant nous sera profitable à tous les deux Amaterasu Hitaika Uchiwa. .. * | |
| | | hishigi uchiwa
Messages : 53 Date d'inscription : 16/08/2009
fiche ninja énergie: (2106/2106) chakra: (3106/3106)
| Sujet: Re: Boulversements... Dim 8 Nov - 23:58 | |
| Je déposai le verre sur ma table basse et me levai précautionneusement. J'avais bu plus que de raison et je me savais dans un état d'ébriété tel que chaque pas pouvait s'avérer dangereux. Je m'agrippai tant bien que mal à tous ce qui tombait sous ma main et tâchai de m'y suspendre afin de tenir sur mes deux jambes. La terre tanguait dangereusement et je peinai à discerner clairement ce qui m'entourait : tout était flou. Un pied devant l'autre, c'est tout ce que mon cerveau était capable de formuler. Je parvins avec moult difficultés à me mouvoir jusqu'à ma chambre, perdant l'équilibre trois fois et trébuchant 5 fois, m'écroulant lamentablement 4 fois sur un trajet d'à peine vingt mètres de distance sans marches ni obstacles à franchir. Je rampai jusqu'à mon lit, me hissai sur ce-dernier et plongeai dans un sommeil comateux.
La vitre explosa bruyamment et 50 kunaï plongèrent dans ma direction. Le sang tapissa les murs quelques peu vétustes de ma chambre et trois anbus firent irruptions dans la pièce, à l'affut du moindre danger, visiblement expérimentés dans l'art d'assassiner les gens. Tous étaient vêtus de noir et arboraient fièrement le masque caractéristique à leur rang. Leur sens guettaient, épiaient la moindre réaction comme l'eut fait un renard après avoir tué sa proie, prêt à mordre encore et encore jusqu'à ce que mort s'ensuive. Cinq minutes s'écoulèrent ainsi, dans le silence le plus totale, dans la quiétude la plus absolue, comme si le monde entier retenait son souffle en attendant un dénouement. Les secondes s'enchaînèrent lentement et inexorablement le calme se mua en certitude : hishigi uchiwa n'était plus. La tension retomba et les assassins gagnèrent en confiance au fil des minutes ; ils étaient à deux doigts de vaincre un hokage sans dommage collatéral. Quel exploit ! Ne tenant plus, l'un deux agrippa de sa main gauche un kunaï et s'approcha du lit ensanglanté. D'un geste vif et sûr il retira le drap et s'apprêta à parer toute attaque éventuelle. Rien ne se produisit, seul subsistait un cadavre morne et défiguré, atrabilaire mais froid. Tous trois soupirèrent d'un commun accord, visiblement soulagé d'avoir mené à bout leur mission. Soudain, un bout de verre craqua et tout trois se retournèrent instantanément, les jambes arquées, solidement campés sur leurs appuies.
Je ne pouvais distinguer la stupeur et l'incompréhension qui devait se peindre sur leurs visages horrifiés mais je pouvais facilement l'envisager. Un mince sourire s'épanouit sur mes lèvres et une lueur sauvage siégeait dans mon regard. Je jetai le bout de verre que j'avais expressément casser avec mes doigts et déclarai d'une voix suave.
« Votre maître à donc une si piètre estime de moi-même pour me traiter de la sorte ? M'envoyer trois pauvres anbus, incapable de discerner le vrai du faux. Risible. Terriblement ridicule. Je suis désolé de vous le dire mais vous êtes tombés dans mon piège. Je dirais même que vous vous êtes fait bernés comme des débutants. Me croire ivre la veille d'une mission... »
Je secouai la tête et croisai les bras sur mon torse.
« Le pire je crois bien, s'est me faire croire que ma soeur était morte... Navrant. -Pourtant c'est bel et bien le cas. -Silence vil malotrus ! Pour moi tu ne mérites pas la parole. Vous tous ne méritez pas que je m'attarde sur votre compte. Pourtant, vous avez fait l'erreur de me sous-estimer et de vous croire suffisamment fort pour me vaincre. »
Je disparus subitement pour réaparaître dans leur dos.
« Hélas, vous êtes très loin du compte. Peut être avez-vous un quelconque talent pour l'assassinat mais contre moi vous n'avez pas plus de chance que d'arrêter le temps. »
Sur ce, deux des trois anbus s'effondrèrent sur le sol, laissant leur congénère paniqué comme un novice.
« C'est ça ! Fais dans ton pantalon et cours voir ton maître. Informes-le que ce n'est pas demain la veille qu'il pourra me vaincre en envoyant pareil recrues.. »
Sans demander son reste il agrippa ses camarades par les bras et s'éclipsa dans une gerbe de fumée. J'époussetais ma tunique lorsque j'entendis quelqu'un applaudir. Intrigué plus qu'apeuré je m'approchai de la fenêtre pour voir de quoi il en retournait. Un homme, assis sur la gouttière d'un immeuble applaudissait. Je fronçai les sourcils avant de m'apercevoir qu'il me regardait.
« Bravo !! Bravo !! J'applaudis votre prouesse. C'est admirable la façon dont vous vous êtes défait de ces trois olibrius. Vous m'avez débarrassé d'un terrible fardeau. C'est vrai quoi, avec eux je ne pouvais pas mener à bien cette mission c'est évident. »
Son sourire carnassier et son ton provocateur. Qui pouvait bien se comporter de la sorte ? Qui était-il pour espérer me vaincre ?
« C'est évident en effet. Par ailleurs, je doute que tu puisses mener à bien cette mission tout court alors retourne te coucher, se serait dommage que tu loupes l'école demain. »
Sur ce je me détournai de cette étrangeté et poursuivis mes affres : ranger la pièce et la débarrasser de toutes ses impuretés.
« Dis donc, ce n'est pas poli de me tourner le dos quand je te parle. -Il me semble que ce n'est pas polis de rentrer chez les gens sans leur autorisation. -Certes, bien parlé. J'aime bien ta répartie. Dommage que je doive te tuer. -Permets moi d'en douter. Vois-tu, j'ai rencontré beaucoup de gens dans ton genre, arrogant, présomptueux. Ils avaient l'audace de me croire inférieur à eux. Pourtant, je suis encore là, à te parler alors qu'eux ne peuvent plus en faire de-même. -Encore une fois : certes. Mais moi je suis différents des assassins que tu as déjà rencontré car moi, vois-tu je dispose de pouvoir autrement supérieur à eux. -Ils disent tous ça aussi. -Bon, laisse moi te tuer en douceur, je te promet que tu ne sentiras rien. »
Je m'apprêtai à rire lorsque je sentis l'acier pénétrer mon cou. Mes yeux s'écarquillèrent de stupéfaction et je sentis peu à peu le poison piéger mon organisme. Mes muscles se raidirent et mon système nerveux disjoncta. Je connaissais que trop bien ce qui m'arrivait.
« Douloureux stupéfaction hein ?! -C'est exact. Subtil mélange pour subtil poison. Si tu le connais, c'est que tu connais également ses effets nan ? -Je suis tétanisé et ce pendant un petit bout de temps. -Bingo ! Tu m'épates. Vraiment, chapeau. Maintenant, la question est de savoir, que vais-je faire de toi ? Te tuer tout de suite ? Venir à bout du grand Hishigi uchiwa aussi facilement serait nuisible à mon image. Je vais discuter un peu avant. De toute façon, j'ai le temps il me semble non ? -La question qui me taraude moi est comment as-tu fais pour tromper ma vigilance ? »
Un large sourire barra le visage juvénile de mon agresseur. Il fit défiler devant mes yeux une épée d'apparence normale mais que je savais différente.
« Et qu'a-t-elle de si particulier ? -Ha ! C'est mon petit bijou ! Vois-tu, toi tu as tes yeux et moi j'ai cette arme. Combiné à mon Dokujutsu, sa fait de moi quelqu'un de redoutable n'est-il pas ? -Sûrement. Mais en quoi consiste ses pouvoirs ? -Mordre comme un serpent ! -C'est donc ça ! Je me disais aussi. Tu es donc un des sept épéiste légendaire de kiri ? -Dans le mille mon vieux ! - Pas mal. Tu as donc le statu de sanin nan ? - Tout juste ! Je vois que tu en connais un rayon. Quel dommage, j'aurais aimé t'apprendre deux ou trois trucs. - Hélas je crains que tu ne sois trop stupide pour cela. - Tu es un rigolo toi. Même en te sachant condamné tu continus à blaguer. Très fort. À ta place j'aurais perdu le contrôle de moi-même. - Il faut plus qu'une épée mystique pour me faire perdre mon sang froid. Tu vois, pour le moment je ne me sens pas menacé le moins du monde. Ce n'est pas ton tour de passe passe qui peut me faire peur, j'en ai connus des pires. - Je vois, ton truc c'est de me faire perdre mon propre sang-froid en me provoquant c'est ça ? Tu cherches à me déstabiliser hein ?! - Pas du tout, vas y, plonges ton épée dans mon coeur. Fais le vite avant que je ne change d'avis ! - Bon bon, si tu y tiens temps je vais abréger tes souffrances. »
L'acier projeta une lueur argentée sur mon visage lorsque l'épée légendaire rencontra les rayons de la lune.
« Adieu Hishigi uchiwa. J'ai été ravi de te rencont... -Oui c'est ça, abrège et tue moi, j'en ai marre de tes discours vindicatifs et puérils. »
La lueur s'estompa : l'épée plongea en direction de mon coeur.
« Sharingan, Nousocchuu ! »
L'épée s'arrêta à quelques centimètre de mon sourire effronté.
« Alors ? Tu comptes faire comment à présent ? -Flut, j'avais oublié que tu étais un uchiwa. Raaa ! C'est pas juste, j'étais si prêt du but, je ne peux mourir maintenant. Je refuse ! -Hélas, je ne te laisse pas le choix. Dans peu de temps, l'effet du poison s'estompera et je pourrais alors te tuer en bonne et due forme. D'ici là, prie pour que la providence t'accorde une mort rapide. -Tu oublies quelque chose, je doute que ta technique dure plus longtemps que mon poison. Par conséquent, il me suffit de ne pas te regarder et d'attendre que les effets de ton fichu sharingan s'arrête pour véritablement en finir. »
Je ne pipai mot et priai silencieusement pour qu'il ai tord. Soudain, je tressaillis de douleur ; le poison venait de prendre fin. Je m'écartai aussitôt de mon opposant et constatai qu'il venait de faire de même, toujours souriant et confiant.
« Cette fois-ci, je vais en finir avec toi. »
Ses mains se joignirent et il composa rapidement une courte série de signe.
« Mokuton Hijutsu : Jukai Koutan (Naissance des arbres ) ! »
Ce à quoi je répondis au moins aussi rapidement :
« Rang S : Shoton, Hasho Koryu (dragon de cristal rebondissant) ! »
Les quelques arbres naissant se transformèrent en dragon cristallins entièrement sous mon contrôle. Atterré devant cet échec cuisant, mon interlocuteur resta coi.
« Pas mal, je dois avouer que tu te défends bien. Malheureusement pour toi, tu as choisis une cible trop forte et tu vas en payer le prix fort. »
Mes quatre « armes » fondirent sur mon adversaire qui hurla de désespoir. Son corps déchiqueté tomba en contre-bas : mort.
Je m'avançai et quelque chose attira mon attention. Je fronçai les sourcils et m'en approchai. Un mince sourire se peignit sur mon visage : l'épée légendaire venait de trouver un nouvel élu... | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Boulversements... | |
| |
| | | | Boulversements... | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |